1 - C’est mon lever du soleil, that’s my sunrise, Le route vers le sommeil? That’s my love right? 2 - J’observe, mec la vue est si belle, Obscène, absurdes sont les décibels, 3 - C’est décidé, j’vais décimer, c’est vite fais, Mais si vrai, et si frais, ais-je des techniques aiguisées, 4 - Oui et j’crois qu’j’ai passé l’âge d’être con, D’être celui qui s’insulte sois-même, et qui aime l’ombre, 5 - Je suis un homme de celle-ci, et ça même éclairé, Même effleuré par le soleil, j’ne serai jamais clair et net, 6 - L’artiste est fêlé mais fait des cd d’or fait-mains, J’donnerai père et mère pour mon père, orphelin. 7 - Faut sourire même dans l’éclipse, y’a toujours pire comme on dit, Faut souffrir pour être sexy? Y’a toujours pire comme on dit, 8 - Mon père n’a plus d’père, et comment fait-il? Sans l’daron j’n’ai plus d’rêves, j’n’aurai plus autant d’hélices, 9 - Plus aucuns délices, plus aucuns délires, Plus que des déprimes qui se délivrent, qui se dessinent, 10 - Qui se décident, soudainement….hmm j’me tais, Mon père est encore là…hm je l’aime 11 - Je souris, je souris, avec un sourire d’or mec, Fais pareil, fais pareil et jusqu’à tes oreilles, 12 - Je l’ouvre et j’raconte mes tas d’conneries or, Quand j’l’ouvre des tas de connes rigolent, 13 - Des tas d’hommes s’isolent, ou ripostent, Ou qui cognent, des imbéciles qui ornent, 14 - Le mal au coeur, pourquoi faudrait se craindre? Le soleil nous éclaire, pourquoi faudrait l’éteindre? 15 - Enclin à être joyeux, ces hommes sont nés d’un miracle, Enfin j’amène l’amour, j’suis quand même mis à l’écart, 16 - J’écouterai ma ‘sique seul, assis dans l’abris bus, C’est pas très grave car, l’amis j’ai l’habitude.

1 - Je t’aime, tu es si belle et si charmante, Je l’aime, elle est superbe et effarante, 2 - Et la farandole, qu’on fera si tes parents m’donnent, La chance d’être ton charmant d’or, 3 - Ca parle encore, de cette fille, de celle qu’on ne connait pas, De celle-ci et de celle qu’on ne nommait pas, 4 - Stoppez ça, frottez-vous au charme de Jane Doe, L’âme rose de cette fille méconnaissable, 5 - J’ai posé ça, sur un truc Jazz car je sais que t’aimes, Je sais qu’t’es, difficile alors je n’oserais pas, 6 - Dire ton nom, alors je t’appellerai Jane Doe, Ca m’pose, pas d’problème qui te sois à l’autre, 7 - Bout du monde, et j’dis ça sans être drôle, J’me fous du con, d’ce beau gosse sans cerveau, 8 - Au bout du compte, j’ai personne avec qui rigoler, Avec qui faire l’amour, avec qui m’isoler, Refrain : I'm crying everyone's tears And there inside our private war I died the night before And all of these remnants of joy and disaster What am I suppose to do 9 - J’ignorais, son inexistence, M’immoler, car énorme est mon épuisement, 10 - J’ai vite penser, que j’écrivais tant d’textes, sur cette fiancé qui m’évite d’emblée, 11 - J’ne suis pas ton tendre aimé? Pourquoi pas encore? Je n’suis pas endetté, enfin pas encore, 12 - J’ne suis pas digne d’être l’amant, pourquoi j’attend car, J’ne suis pas riche ni charmant, non ça je n’pense pas 13 - J’ne suis pas beau, non j’ne suis pas Brad Pitt, Ni Depp ni Brosnan, ni c’connard au tas d’fric, 14 - Mais j’suis cet inconnu, ce gars adorable, Ce gars angélique comme la voix d’Arbogast, 15 - Ce gars abordable, mais qu’on aborde pas, Car j’suis un gars bien et pas ce sale connard, 16 - J’ne fume pas, alors j’ne peux pas draguer, Jane Doe, la seule comme moi, mais qui veut pas l’admettre, Refrain 17 - Nous n’sommes pas beaux, mais la beauté on s’en fout, Nous sommes charmant, et le charme fait le tout, 18 - Nous sommes amoureux l’un de l’autre, pas grave et, Baisé langoureusement c’n’est pas de trop, mais pas assez.

1 - Fascinante, est la vie, pas si lente est la sique, Pas tille-gen est la fille, car j’l’ai quasiment déshabillé, 2 - J’arrive quand même, pratiquement def, J’pratique sans elle, la vidange des…ai-je compris la mise en scène? 3 - Pensait-elle, que quand j’étais, endormi j’penser d’elle? Mais quand j’pétais, j’pensais juste à changer d’air, 4 - J’assimile, toutes les techniques d’ACB, Pas si vite, moi j’tiens la banque et j’la pille comme Butch Cassidy. 5 - Vas-y fils, fonce la vie passe si vite, Pacifique, sont mes rêves de finir avec « Cassie P. », 6 - Ca parle de cul, bite chatte poil, moi j’passe au dessus, L’syndrome de Tourette moi je l’ai mais toi t’as pas d’excuses, 7 - Toi t’as pas déçu, le monde entier m’a craché d’ssus, et ça c’est fou, si mon jus était sucré les meufs s’battraient pour, 8 - Lâchez-vous, ouvrez la bouche pour un paquet d’sous, Moi j’suis heureux j’vous emmerde avec mon paquet d’sucres, paquet d’boules. 1 - Quand j’déprime, quand j’délire ou quand j’délivre ma vie, Quand j’écris, cents d’mes lignes, j’m’en fiche de c’que pense la ville, 2 - J’ai déjà tout raconté sur moi, justice et verritas, J’me sens vidé comme Marc face Julie et Melissa, 3 - J’empeste et j’emmerde, j’embête ces sans gênes, Sans dec’ ils s’empreignent d’mes cents textes et d’mes cents tempêtes ils s’engrènent, 4 - Tout l’monde s’entre-suce c’est une partouze hivernale, Pour couronner l’tout, ces tarlouzes s’y prennent mal. 5 - Faudrait leur apprendre, mais ce n’est pas ma vocation, Moi j’ai tellement écrit qu’ça en devient d’la déforestation, 6 - Désolé d’l’apprendre, t’façons c’était foiré d’avance, J’devais versé l’ancre, j’l’ai ensuite levé pour dévorer ma chance, 7 - Ma vie m’fait gole-ri, nan au fait j’avais l’seum, J’ai fais des conneries, mais pas autant qu’en a fait Sean, 8 - L’étendard, brulé élevé car j’emmerde les temps d’armes, J’arrive mon crew aux pattes comme les ultras du Standard.

1 - J’adore son sourire, son charme fou et ses lèvres, Ses cheveux sa voix douce mais j’déteste, 2 - Rien, merde elle n’a pas d'défauts, Ca c'est faux, elle en a mais gars j'l'aime c'est fou, 3 - Rêve-t-on souvent de ce genre de chose? Moi jamais, Puis je sais que c’est réel et je dois admettre, 4 - Ne pas y avoir cru, j’ai peur d’avoir déjà vu tout ça, Cupidon m’viser et m’avoir piquer mon cul tout pâle, 5 - Merde, mec ça m’estomaque c’est peut-être la perle rare, J’ai même craché des papillons d’ma boule à l’estomac, 6 - Et est-ce que t’as, déjà vécu ça? Moi presque pas, Bourré même si j’ai vidé toutes les bouteilles de l’EscoBar, 7 - Je sais c’qu’on a, en commun et c’est fou j’sais, Qu’on a souffert, et on garde l’sourire même en larme, 8 - Mémorable, est ce coup d’fil passé à ce soleil bleu, Je t’aime tant car…. j’baille aux corneilles, 9 - J’ai tellement d’choses à dire, mais peu à raconter je, Suis trop timide, j’ai froid aux yeux devant ce soleil bleu, 10 - Je stresse, je tremble, putain j’ai mal au ventre c’est, Merde j’injure, et putain j’viens de r’commencer, 11 - Faut j’arrête, ce trac va m’tuer plus qu’autre chose, Faut j’m’apprête à écrire des textes à l’eau d’rose, 12 - Non, gars réveil-toi, c’est pas son genre, Soi naturel, reste toi-même fais pas l’tombeur, 13 - J’suis un pro pour être une ordure mec, J’suis tombé dans ses bras ouais, au sens propre du thermes, 14 - Son regard, est trop perçant je crois qu’je vais, Pas tarder à m’transformer en homme de pierre, 15 - Et pourtant j’adore ça, j’adore la regarder, J’ai remarquer, qu’son charme inexplicable s’est emparé, 16 - De moi, et de mon charme inexistant, Si, les filles quand j’leur parle me mettent des vents si épuisants, 17 - J’ai l’habitude, mais toi t’es la seule qui n’l’a pas fait, Qui n’a pas d’air de pute, et qui heureusement n’a pas d’mec, 18 - T’es tellement simple, mais pourtant si compliquée, C’est con c’t’idée, d’être complètement humble, 19 - Avoue-le, ta gentillesse est sans pareil, Et sans paraître vantarde de ta confiance faut s’en emparer, 20 - Amoureux, ça merde j’espère pas l’être, Enfin ça pourrait, mais si jamais elle pense pareil.

1 - Les temps changent, et les choses disparaissent, Les cancres dansent, et les fauves disent d’la merde, 2 - Les grands pensent, et les jeunes pensent pareils, Les gens chantent mais s’entre-lancent des transpalettes, 3 - Les enfants, et les adultes s’effritent, Les gens s’mangent, mais les belges toujours des frites, 4 - Les temps changent, et je n’ai même plus le temps d’écrire, Les gens s’mentent, et j’n’ai même plus le temps d’sévir, 5 - Et quand j’pense, qu’avant tout était simple et différent, Humble différence, ma qualité est d’être indifférent. 6 - Pense, mec j’te l’demande gentiment, Chante, avec ton coeur et tes sentiments, 7 - Je pense qu’ils sentent, mon parfum qui pu la merde, Je rêve qu’ils sentent, mon chagrin qui me tue d’l’intérieur, 8 - Sentez mon coeur qui n’bat presque plus, Sachez qu’le monde se fout d’tout et ça, ça m’laisse sur le cul, 9 - Les gens changent, et le temps disparait, Les gendres s’énervent, jamais vu autant d’crises pareils, 10 - L’amour est beau, mais ceci n’est qu’un triste poème, La mort est proche, pas eu l’temps d’vivre une vie de bohème. 11 - Des gens rampent, on les évites comme des écrémants, Les gens tentent, d’éviter mais putain en quoi est-ce gênant? 12 - D’être sympathique et d’aider d’autres êtres plaisants, Pas si simple à vivre, donc essayez d’être clément.

1 - Le soleil reigne, pourquoi sans arrêts l'éviter? Sournois m'decrit-on? Pourquoi devrais-je déprimer? 2 - L’étoile se rapproche peu à peu du sol, Peu à peu l’décor change, ça devient peu à peu l’désordre, 3 - Ça y est, le monde est complètement assombri, Cela va sans dire, l’attendrissement d’la lumière va de mal en pire, 4 - Et j’attend car, faut être patient gars, On t’embarque dans un monde remplit de patients barges, 5 - Va-t-en d’là m’disait-on mais j’ai pas d’gents-ar, V´là l'fomblard que j'suis pourtant on m'cire les pompes à fond d'balle, 6 - Le soleil réapparaît, j’ai la paresse de ne pas sourire, La maladresse de m’pavaner, tter-ma le malêtre s’adoucit, 7 - On sourit tous, le compte en banque vidé, On sombre en bande, on souffre ensemble, on s’oublie tous vite fais, 8 - Soupirons, soupirez, y’aura toujours des litres à perdre, Oublions, souriez, moi j’finirai célib’ à terre. 9 - Je pense, je crois, avoir vécu pire, Le sang, s’accroît, ma voie s’sécurise, 10 - Et les puristes j’vous emmerde, moi j’vois pas ça comme un boulot, Et les sudistes bougent en sectes, moi j’me ballade seul au « bureau », 11 - Un sudiste sans soleil, hey t’y crois gars? Un futile temps pareil, merde j’y crois pas, 12 - Le soleil m’éblouit, c’qui m’fait sourire c'est l'aurore, La lune m'fait pleurer, écœuré d'cette horreur, 13 - Un bonheur gâché, par cette triste boule blanche, Une gueule d’ange caché par ses titres et gouttes d’ancres, 14 - Pas terrible j’fous l’camp, des fois j’change de thèmes, J'parais pas crédible, car j'ne vais pas très vite, et là j'pense que l'é.. 15 - ..toile s’est r’couchée, j’rappe jours et nuits, Ses toiles, mes couplets, l'art jour et nuit, 16 - Père et fils, j’rappe mes textes soleil ou lune, J’opère je tue, jusqu’à c’que l’bordel s'éclipse.

Dart-Bau : 1 - Les sourires sont mort au cours de mon histoire, j’aspire le reste de fumé blanche avant de suivre mes idées noires, 2 - Le regard cerné par le temps et la solitude qui nous sépare de l’amour et tout ces conte de fée que l’on titube comblé d’espoir, 3 - La feuille me libère et mon stylo se remplit d’un sang d’ancre, le ventre serré j’consume mes secondes au larmes sanglante, 4 - Le sang coule et pas seulement sous les coups, pour moi c’est la corde au cou qui passe en boucle et sa tout les jours, 5 - Mon envie est attirer la foudre entre cette fille et moi mais je n’ai trouver que l’ouragan qui m’écarta de la course et toi, 6 - Trois ans que j’en reste la, a croire au miracle mais seul l’alcool et les mirage ont trouvé l’impasse mais au final je rêve j’crois, 7 - Je rêve de toi, de tout ces moments que j’aime parfois, souvent je pense que les étoiles sont tes yeux qui m’regardé autrefois, 8 - Mais outre la, mes défauts s’en foute de croire, que depuis l’aube j’écris ce texte la pour mes sentiments qui se meurt de t’voir. Refrain (2x) : J’sais que j’suis grave chiant, et pourtant j’garde le sourire, Que ma mort sera lente, et pourtant j’garde le sourire, Saoulant….mais mon frère mea culpa, Souvent j’garde le sourire, même face à un cul d’SAC. John Doe : 1 - Putain, pourquoi devrais-je être heureux de ça, Dans cette vie d’merde avec mes cheveux sales, 2 - Mais doigts dégueulasses qui râpent le sol, Je saigne, et des tonnes de flaques se forment, 3 - Mes crachats sont rouges, et sans salives, C’est la gorge sèche que je chante sa vie, 4 - Je pense à rire, quand je danse en trans’, sadique, J’fais semblant dans les séquences magiques, 5 - Pratiquement foutu en dehors de chez moi mec, J’ai perdu espoir, l’école stoppée pour être calmé, 6 - Plus rien ne m’fait sourire, à part cette roussette, Ils m’ont tous oubliés car j’étais fou d’elle, 7 - Foutaise, merde j’ai finis seul, Elle se barre pour un mec ce fut ma pire épreuve, 8 - J’ai plus rien, j’ai tout perdu c’est, Plus la peine de vivre, j’ai assez perduré. Refrain (2x) John Doe : 9 - J’passe mes journées à écrire, et mes soirées à rapper, J’pense à écourter ma vie, ma vie de rater, 10 - Au pire j’ai rappé, c’est à dire qu’j’ai à perdre, Que des souvenirs d’mes gamelles, au pire c’est pas tes affaires 11 - Faut que j’arrête d’être au mic, et faut pas que j’commence à boire, Faut que j’m’évade et qu’on l’sache, que j’commence à croire, 12 - A la mort très facile, a ma souffrance négative, A ma famille très avide, et à ma saoulante thérapie. Dart-Bau : 9 - Ou la journée je marche parmi les cadavres qui s’enivrent, sa me ressemble mais je préfère ne rien affronter et m’enfuir, 10 - Les mensonges sont un quotidien, je sors les masques pour rassurer l’gamin, admirez seulement les couches car derrière il n’y a rien, 11 - On me propose de me perdre sous leurs griffes, d’aller faire bouger le conteur et d’enfin faire monter les chiffres, 12 - Mais ma colère fait que la feuille en souffre, admirez le charme de la viande froide déprimant sous le chant des hommes saoul.

Dart-Bau : 1 - J’gâche mon temps la main sur la gâchette, j’place sur ma tempe le canon qui sortira de cette cachette, 2 - Cette voix fait ressortir chacune de mes facettes, le sentimental garde la foie pour ne pas faire fondre cet iceberg, 3 - Et j’ai perdu le sens d’être un frère, de faire preuve de reconnaissance depuis que mon enfance a évoluer dans cet enfer, 4 - Et la journée j’en bave, a chaque seconde qui passe mes nerfs s’embrasent, l’ancre coule et enflamme chacune de mes entraves, 5 - Les actes de noblesses s’font rare, tel les pactes montre ma faiblesse quand je lâche mes restent envers les lettres d’mon blase, 6 - La mort condamne, mais honoré s’contrat arrivera tôt ou tard devant la porte du condamné pour lui prendre son âme, 7 - Mais arriverez vous a prendre mon arme pointé sur ma tête, j’en suis arrivé a coincé mon arche dans un océan d’merde, 8 - J’ai provoqué la chance pour atterrir dans ce mercier au point d’acquérir le chanvre afin d’détruire mes pensées. John Doe : 1 - Pas l’temps d’râler, gars la vie est courte, Pas grave on t’écoute, t’as l’temps d’parler, 2 - Stresse pas, la vie est faite pour être vécue, Est-ce moi, ou t’arrive qu’à être déçu? 3 - Ca part en cette-su, et mec je m’excuse, De n’avoir jamais vu, la vraie merde exclue, 4 - Que t’étais, étais-ce moi ou l’été super? Le fait qu’tout rouler sur toutes les roulettes, 5 - T’enchaîner les boulettes, tu t’emmerdais mais j’pouvais, Rien faire à part te chanter ces couplets, 6 - Ne gâche rien, dis-toi qu’t’as tout a gagner, Ne lâche rien, vois toutes les couleurs d’la palette, 7 - Ca n’a pas l’air de t’intéresser, dis-moi pourquoi? Laisse pas la gâchette s’interposer, tire une fois pour voir? 8 - Tu n’verras rien, enfin j’espère que si pour toi gars, J’espère un paradis, même si ici y’a d’quoi pour s’asseoir.